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Newsletter de Source-Originelle

29 juillet 2006

Insecticides utilisés dans la maison : attention danger!!

insecticide

On a recours très facilement à des produits pour nous débarrasser des insectes qui pénètrent dans nos habitations. Cela concerne aussi les parasites pour chiens et chats. Ces insecticides doivent à la fois lutter contre les insectes nuisibles et être inoffensifs à l’égard de l’homme. Mais en fait, ces exigences sont-elles conciliables ? Malheureusement elles ne le sont pas. Il a été démontré que l’utilisation d’insecticides dans la maison est particulièrement dangereuses et peut être à l’origine de maladies graves. De plus, à l’intérieur, ces insecticides se dégradent très lentement et imprègnent pour longtemps les sols, les tapis, le mobilier, les tentures, la poussière... prolongeant notre exposition à ces substances toxiques.

L’utilisation d’insecticides à l’intérieur est encore facilitée par le fait que de nombreux fabricants leur attribuent des slogans tels que « parfaitement inoffensif », « naturel » ou « respectueux de l’environnement ». Mais quelles sont les substances contenues dans ces nouveaux insecticides ? Se limitent-elles à attaquer les insectes nuisibles et sont-elles vraiment inoffensives pour nous ?

Nouvelle tendance

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Il y a quelques années encore, les insecticides contenaient des substances qui sans nul doute étaient dangereuses pour l’homme (par exemple : Dichlorvos, Chlorpyrifos, Propoxur, Lindane). Aujourd’hui ils sont pour la plupart à base de pyrèthre, un produit d’origine végétale et de pyréthrinoïdes synthétiques de la même famille. Ces substances sont sensiblement moins dangereuses, mais pas dénuées de risques comme on le verra par la suite.

Les anciens Perses et Chinois savaient déjà, du moins de façon indirecte, que le pyrèthre agit contre les insectes  : ils broyaient les pétales d’une certaine espèce de chrysanthème contenant du pyrèthre pour produire une poudre anti-puces. Aujourd’hui on obtient le pyrèthre en l’extrayant des fleurs. Ce pyrèthre naturel se dégrade très vite, son effet anti-insectes ne persiste pas très longtemps. C’est pour compenser cette caractéristique que l’industrie chimique a créé des substances analogues, les pyréthrinoïdes synthétiques à toxicité variable. Les pyréthrinoïdes, tout comme le pyrèthre, agissent sur le système nerveux.

Origine naturelle mais pas inoffensif !

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Bien que la plupart des insecticides « intérieurs  » qui sont aujourd’hui commercialisés soient à base de substances qui sont moins toxiques, l’amélioration n’est donc pas suffisante. Des risques pour la santé et l’environnement persistent. Les enfants en font souvent les frais, ainsi que les asthmatiques et les allergiques. Au-delà, les intoxications sont souvent dues à des mauvais usages (il ne faut pas oublier de lire la notice !).

Les extraits de pyrèthre peuvent contenir des impuretés de la plante, notamment des pollens, susceptibles de déclencher des allergies. De plus, les insecticides à base de pyrèthre naturel contiennent souvent des adjuvants pour en améliorer l’efficacité, adjuvants qui s’avèrent dangereux pour la santé.

En fait, pour prolonger la durée de vie des pyrèthres naturels (rapidement dégradés par la lumière) et de certains pyréthrinoïdes de synthèse, on ajoute une substance appelée Piperonyl Butoxyde (PBO). Le problème est qu’elle inhibe la désintoxication qui s’opère dans notre organisme en cas d’absorption de pesticides, ce qui est négatif du point de vue toxicologique. Son absorption pourrait donc augmenter la toxicité d’autres pesticides auxquels l’homme serait exposé.

En ce qui concerne les pyréthrinoïdes de synthèse, ils peuvent occasionner de graves problèmes de santé en cas d’exposition prolongée : désordres cérébraux et de la locomotion, diminution de l’immunité après intoxication aiguë ; certains sont classés cancérigènes possible pour l’homme selon l’Agence de Protection de l’Environnement américaine (EPA) et/ou perturbent le système hormonal chez l’animal de laboratoire et au niveau de la faune sauvage...
(http://www.pan-belgium.be/2_approfondir/proprietes_pesticides_1.htm)

En outre, ils peuvent être à l’origine de fourmillements intenses en cas de contact direct et prolongé avec le corps. Les produits insecticides qui en contiennent (diffuseurs, moustiquaires imprégnées...) peuvent aussi occasionner des irritations de la peau et des yeux, à cause des solvants organiques utilisés pour dissoudre les substances actives.

Facilité d’utilisation et efficacité, à quel prix ?

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On constate que l’efficacité et la facilité d’utilisation dans la lutte contre les insectes va en général de pair avec une toxicité accrue pour l’homme.

Par exemple, les évaporateurs électriques contiennent des pyréthrinoïdes volatils qui s’évaporent dans l’air ambiant tant que l’appareil est branché. L’exposition à ces substances est donc continue !

De même, le conditionnement en spray (bombe aérosol) est dépassé ! Du point de vue écologique, il est déraisonnable puisqu’on emploie un grand emballage pour peu de contenu. Contrairement aux vaporisateurs, les sprays ne peuvent pas être rechargés. En tant qu’insecticides, ils sont plus toxiques, parce qu’ils produisent une brume très fine qui atteigne les poumons et, en outre, ils présentent un risque d’explosion à cause du gaz propulseur (butane ou propane).

Si vous êtes néanmoins amenés à utiliser des insecticides en spray, pensez à quelques consignes de sécurité  :

  • Utilisez un spray uniquement dans les pièces vides de tout occupant et aérez après.

  • Une application précise signifie qu’il faut vaporiser là où les insectes se cachent (fissures, derrière les armoires...) et pas en excès !

  • Dépoussiérer les pièces avant de vaporiser le produit. Les substances actives se logent dans les poussières qui pourront ensuite être inhalées.

  • Il faut signaler que ces substances sont hautement toxiques pour les poissons  ; penser à protéger l’aquarium lors de vaporisation de produits en contenant.

Le premier réflexe : la prévention

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Les insectes sont certes très importuns, voire nuisibles s’ils s’installent dans nos réserves alimentaires. Mais il ne faut pas pour autant recourir immédiatement aux biocides. Quelques alternatives :

1. Les aliments secs (céréales, légumes secs, sucre, etc.) doivent être correctement stockés en un lieu qui n’est ni trop froid ni trop humide et dans des récipients étanches.

2. Il y a moyen de prévenir l’entrée des moustiques dans la maison :

  • Les toiles d’araignées sur les châssis des fenêtres constituent une excellente moustiquaire naturelle. Lorsqu’il y a trop de moustiques, le placement d’une moustiquaire adaptée à la fenêtre est la plus efficace des armes préventives (aussi valable pour les mouches).

  • Mettez des pots avec des plants de tomates sur le rebord de la fenêtre. Les moustiques n’apprécient pas du tout l’odeur dégagée par les feuilles. Ils n’apprécient pas non plus : la citronnelle, la lavande (mettez de l’essence de lavande dans un gobelet), l’eucalyptus (l’huile et les feuilles), les pelures d’oignon, le vinaigre.

  • Les pièges ultraviolets n’ont pas recours à la chimie, mais ils ne sont pas recommandés. Ils attirent bien d’autres insectes (utiles, un tout cas d’un point de vue humain) qui sont aussi éliminés.

3. Les fourmis marquent leur chemin par des traces d’odeurs, elles ne peuvent plus s’orienter si celles-ci manquent. On peut les chasser par un bon nettoyage (à l’aide d’un nettoyant universel). Mais on pourra aussi les déranger en plaçant des feuilles de fougère ou de tomate , quelques gouttes d’huile de lavande ou de citron sur leur trajet.

Avons-nous peur de la nature ?

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Notre besoin de nature prend des airs grotesques lorsque nous attaquons cette même nature avec d’importants moyens chimiques dès qu’elle nous touche de trop près. Pensons toujours aux méthodes de prévention. Certes, cela demande un peu plus de temps ou de ressources pour changer notre mode de vie, mais l’effort vaut la peine. La santé n’a pas de prix !

Article rédigé par Edurne Gil sur base des articles suivants :

  • Dossier « Antiparasites, insecticides : Des poisons pour notre santé ? », 60 Millions de Consommateurs n°396 juillet-août 2005

  • « Les Insecticides », Union Luxembourgeoise des Consommateurs n°10 1996

Bibliographie & pour en savoir plus

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Découvrir, approfondir et connaître des méthodes de prévention :
www.pan-belgium.be (Pesticides Action Network Belgium)
« Je peux éviter d’utiliser des pesticides à la maison » - fiche d’information n°2 sur la santé et l’habitat, www.ecoconso.be

Principes actifs et santé :
www.pesticides.be
www.pesticideinfo.org (en anglais)

Plantes d’intérieur et jardin :
« Insecticides chimiques pour plantes - Mieux vaut prévenir », Test-Achats n°497 avril 2006
« Herbicides, pas un choix innocent », Test-Achats n°485 mars 2005
www.natpro.be (Nature & Progrès Belgique : jardiner sans pesticides)

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14 juillet 2006

Les Gels Douches responsables de l'eczéma

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Les scientifiques détectent l'augmentation des cas de maladies de peaux infantiles chez les substances chimiques de notre confort moderne.


Jamie Brown n'avait que quelques mois lorsque ses parents remarquèrent une tache rouge sur son bras. Malgré des soins méticuleux, l'irritation se propagea jusqu'à couvrir une grande partie de peau avec ampoules et suintements. Un docteur diagnostiqua l'eczema.

Jamie rejoint plusieurs centaines de milliers d'enfants britanniques diagnostiqués de cette douloureuse condition. De seulement 3% dans les années cinquante, la maladie touche aujourd'hui plus d'un enfant sur cinq et ce chiffre continue d'augmenter.

Un groupe proéminant de dermatologues anglais ont maintenant identifié les sources de l'eczema parmi de nombreuses "merveilles" du monde moderne. Elles comprenent bains moussants, lingettes bébé, moquettes et chauffage central.

Dans un article à paraître dans le "Dermatology in Practice" de ce mois, , les scientifiques disent qu'à moins que des parents comme John et Tracey Brown aient appris à modérer l'usage de telles commodités avant la naissance des enfants, l'eczema continuera à se propager"

Le directeur de recherche, Dr Michael Cork, dermatologiste conseil à l'Université de Sheffield, dit: "Nos recherches font clairement état que nous devons traiter l'eczema de la même manière que nous traitons les caries. Nous devons prendre de mesures avant qu'il s'installe, en d'autres termes et sans attendre-comme nous le faisons en ce moment, avant que les symptômes n'apparaissent".

Les scientifiques ont toujours été déroutés par l'augmentation foudroyante du taux d'eczema depuis la guerre. Ils se demandaient pourquoi à partir d'une disparité relative, a-t-il soudain fait irruption pour devenir l'une des maladies des temps modernes les plus répandues?

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Cork et ses collégues décidérent d'utiliser les chiffres du gouvernement pour essayer de déceler les facteurs communs. Il dit:"Nous avons observé la façon dont l'hygiène personnelle a changé et avons trouvé des chiffres renversants. En 1961, un citoyen moyen employait 12 litres d'eau par jour pour se laver. En 1997, nous en employons plus de 60."

En d'autres termes, alors qu'autrefois nous nous lavions seulement une ou deux fois par semaine, de nos jous nous nous douchons ou prenons des bains au moins une fois par jour. Ce qui n'est pas un problème en soi. Cependant, le désir accru de nos concitoyens pour l'hygiène s'est reflété en part égale dans l'emploi des gels douche et des bains moussants. Sur les 20 dernières années, les dépenses dans ces produits ont presque doublé dans les grands magasins.

De façon cruciale, les gels et les bains moussants contiennent souvent des ingrédients qui sont aujourd'hui reconnus pour déclencher l'eczema. Cork dit que les cellules de l'épiderme ont de nombreux acides gras en surface qui les aident à retenir l'eau. Les surfactants des gels et bains douches peuvent décomposer ces acides gras et dérêgler la teneur en eau des cellules. Ils asséchent et produisent les symptômes de l'eczema".

De façon identique, les lingettes bébé ont largement remplacé l'emploi du coton et de l'eau. Les chercheurs mentionnent qu'elles aussi peuvent contenir des parfums et des surfactants bruts qui peuvent réduire l'intégrité de l'épiderme. Une fois encore cela aboutit à l'eczema.

De plus, le développement du chauffage central, du double vitrage et de la moquette a rendu les habitations plus chaudes et plus confortables, autant pour les humains que pour les acariens. Cork nous dit que les acariens s'épanouissent dans les tapis des maisons chaudes.

Bien-sur, cela pose problème aux asthmatiques mais cela pose aussi problème à ceux enclin à l'eczma. Les acariens secretent des toxines qui ont pas mal le même effet que les surfactants des gels douche. Ils dérêglent la teneur en eau des cellules de l'epiderme.

Même les chats dont les propriétaires ont doublé ces trente dernières années en Angleterre sont impliqués. Leur pelage est un nid d'acariens alors qu'ils produisent aussi des substances chimiques qui déclenchent l'eczema.

En résumé, les temps modernes ont exposé nos enfants à une combinaison d'agents environnementaux qui peuvent avoir un effet dévastateur sur leur peau.

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Pour une famille comme les Browns, la riposte est d'agir avant la naissance du bébé en s'assurant que leur habitation est débarassée de tous ces agents chimiques associés à la réaction en chaine dermatologique qui aboutit à l'eczema.

Cork rajoute:"Nous devons prendre beaucoup plus d'initiatives pour traiter le problème. Ce n'est pas la peine d'attendre que l'eczema frappe. Une fois en place, il peut être persistant et pas facile à traiter. On ne doit pas le laisser se développer en premier lieu."

775Comment garder les causes hors du foyer

Les scientifiques ont souligné une série de mesures quotidiennes qui, disent-ils, doit être mise en place dans chaque foyer- même celui sans historique familial d'eczema. Ces mesures doivent comprendre:

Bannir les bains et gels douche. A la place, les enfants doivent être baignés dans des huiles hydratantes.
Eviter les moquettes. Les planchers en bois et les carrelages aideront à réduire les acariens.
Les draps doivent être lavés à 60°C pour éliminer les acariens et détruire leurs dejets.
Installer des rideaux ou volets roulants lavables.
Maintenir les animaux domestiques hors des chambres
Placer les peluches dans le congélateur la nuit. Cela détruira tous les acariens.
Conserver l'humidité de la maison au plus bas
Aspirer toutes les pièces (et les matelas) régulièrement.


Robon McKie, journaliste scientifique
Dimanche 12 mai 2002, The Observer ( Royaume-Uni)

5 juin 2006

Cosmétiques substances à risques

Les PARABENS

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Concernant ce prooduit l’AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) à publié en Avril 2004 un document :

Parabens - veille scientifique
Les esters de l'acide para-hydroxybenzoïque (esters de méthyle, éthyle, propyle, butyle ou benzyle) ou parabens, sont utilisés comme conservateurs dans des aliments, des produits cosmétiques et dans 1096 spécialités pharmaceutiques.

Les parabens présentent une très faible toxicité générale et sont bien tolérés (des allergies peuvent tout de même survenir : urticaire, dermatite).

Plusieurs études réalisées in vitro et in vivo ont montré que les parabens exerçaient une activité œstrogénique faible Une étude récente suggère l'accumulation des parabens dans le tissu mammaire cancéreux(1).

L'auteur émet l'hypothèse d'une relation entre la présence de parabens ,dans le tissu mammaire, leur activité œstrogénique et l'induction de cancer du sein.

L'accumulation potentielle des parabens dans le tissu mammaire, liée à l'utilisation de produits contenant des parabens, et l'implication éventuelle des parabens dans la survenue du cancer du sein ne doivent pas être négligées.

C'est pourquoi l'Afssaps poursuit une veille scientifique et technique dans le cadre de ses missions de sécurité sanitaire et met en place un groupe de travail sur ce sujet.

Les SUBSTANCES A RISQUES

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Les dangers vont de la simple irritation au risque de cancer.
  1. Les huiles minérales : Les paraffines dérivées du pétrole sont très avantageuses pour l'industrie cosmétique Elles sont à la fois simples à travailler et très bon marché, par contre ces huiles artificielles empêchent la peau de respirer.
    Ces huiles minérales comme la Paraffinum liquidum sont composées de chaînes d'hydrocarbures qui ne peuvent pas être métabolisées par l'organisme.

    L'OMS a prouvé que les huiles minérales peuvent être stockées dans l'organisme et endommager le foie, ou entrainer une inflammation des valvules du coeur (due aux cires de paraffine par exemple).
    Actuellement, seules quelques huiles minérales et quelques produits pétroliers ont été testés, mais les résultats alarmants devraient d'ores et déjà nous engager à renoncer à ces produits.
  2. Les huiles et cires de silicone Ces substances entièrement synthétiques, dérivées du silicium et contenant des atomes d'oxygène, sont employées dans une multitude de produits.
    La Dimethicone est l'une des matières premières les plus utilisées pour les formules de protection de la peau, de soins capillaires et de rouges à lèvres.
    On trouve aussi la Cetyl dimethicone copolyol, la Phenyl trimethicone, la Stearyl dimethicone Les huiles de silicone sont douces et s'étalent bien sur la peau, encore faut il qu'elles soient de bonne qualité.
    Elles sont de loin préférables aux huiles minérales, mais elles ont un grave inconvénient, elles sont très peu biodégradables et nocives pour l'environnement et donc indirectement pour notre santé.
    Par ailleurs, dans les shampooings, elles auraient tendance à étouffer le cuir chevelu.
  3. Les SLS comme Sodium-laureth-sulfate ou le sodium-lauryl-sulfate agressifs pour les muqueuses, responsables d'irritations cutanées et allergiques au niveau de la peau, des yeux et de muqueuses.
  4. Les polyéthylenglycols (PEG) dont l'obtention se fait à partir de gaz et de manipulations extrêmement dangereux. En outre, ils augmenteraient le phénomène de boutons et points noirs.
  5. Les monoéthanolamine , diéthanolamine et triéthanolamine ( MEA , DEA et TEA ) qui peuvent déclencher l'apparition de nitrosamines (cancérigènes)
  6. BHT et BHA : Antioxydants. En haute dose, ils ont des effets cancérigènes sur l'estomac (d'où leur interdiction dans les produits alimentaires).
  7. Composés organo-halogénés : l'halogénation consiste à introduire dans les molécules du chlore, du brome ou de l'iode. Signe un conservateur de synthèse. Ont un potentiel allergène et sont hautement réactifs. S'ils se fixent dans les tissus, ils peuvent s'y décomposer, se fixer et les endommager.
  8. Formaldéhydes : Substance cancérigène. Leur taux ne doit pas dépasser 0,2% pour la conservation, 0,1% dans les produits de soins buccaux et 5% dans les durcisseurs d'ongles.
  9. Séparateurs de formaldéhydes : Formaldéhyde, DMDM hydantoïne, bronopol. Substances capables de dénaturer des protéines.
  10. Nitrosamines : Pénètrent par l'intermédiaire de matières premières souillées. Cancérigènes
  11. EDTA et Etidronic acid : Ont la propriété de se fixer et sont donc critiques du point de vue toxicologiques.
  12. Composés musqués : Ces substances odorantes artificielles très stables se fixent dans les tissus. Sont cancérigènes.
  13. Substances obtenues à partir de PEG et de PPG : Ont la consistance d'un liquide ou d'une cire. Obtenus à partir de gaz de combat, extrêmement réactifs et particulièrement toxiques.
  14. Sels d'aluminium: Employés dans les déodorants. Peut résulter des réactions inflammatoires. Les glandes sudoripares peuvent être endommagées par une utilisation répétée. Les recherches en cours en font un ingrédient polémique car ils pourraient se fixer dans certaines organes dont le cerveau.
  15. Le triclosan est un produit chloré hautement réactif. Bactéricide, il peut empêcher le bon fonctionnement du foie. Il est souvent souillé par la dioxine, très dangereuse, même en quantité infime.
    • Colorants cosmétiques et colorants pour cheveux : Des chercheurs américains ont constatés que l'utilisation de colorants pour les cheveux multipliait par cinq le risque de cancer du sein.
    • Amines aromatiques : Substances de base des colorants d'oxydation. Substances toxiques qui peuvent être absorbées par la peau.
    • Colorants azoïques : Colorants à base de goudron synthétique avec des groupes amino, particulièrement critiques sur le plan toxicologique.
    • Les quats et polyquats (INCI : Quaternium plus un chiffre) : Employés comme antistatique. Couramment utilisés : CTAC ( Cetyl trimethyl ammonium chlorure ) et le DSDMAC ( Quaternium 5 ). Biodédradable mais léger effet irritant sur la peau.
    • Les esters de quats, produits naturels et doux pour le soin des cheveux : effet irritant et mauvaise dégradabilité.

    Les substances naturelles

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    Utilisez de préférence des cosmétiques utilisant des produits naturels tel que :
    1. Les huiles, beurres, graisses et cires végétales
    2. Les eaux florales, hydrolats, infusions florales
    3. Les huiles essentielles
    4. Les argiles
    5. Les algues
    6. Les alcools et acides gras. Cetyl alcohol , Behenyl alcohol , Stearyl alcohol ou Myristil alcohol , Lauric acid , Stearic acid , Myristic acid , Palmitic acid .
    7. Les gélifiants :farine de Guar, la farine de noyau de caroube, la gomme arabique, l'agar-agar, les algines et l'amidon de pomme de terre, de riz ou de blé
    8. Les tensioactifs naturels : le laurylsulfate et le disodium-laureth-sulfate tirés de l'huile de coco ou de palme, la bétaïne (composant du beurre de coco)

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    2 mai 2006

    les Vaccins==> un empoisonnement obligatoire...mais remboursé!

    Newsletter n°6

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    La plupart des vaccins renferment un poison pudiquement baptisé "adjuvant de l'immunité*" . Le plus communément employé à l'heure actuelle - et l'un des plus nocifs - est l'hydroxyde d'aluminium. Cet adjuvant est présent dans la grande majorité des vaccins actuels - pour l'homme mais aussi l'animal - à raison de 1250 micro grammes par doses. C'est dire qu'un enfant vacciné de nos jours, a reçu à l'âge de douze mois plus de 8000 micro grammes de ce poison !

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    Or, cet hydroxyde d'aluminium est toxique pour l'organisme à partir de 60 micro grammes par litre de sang - avec des signes certains d'encéphalopathies (maladie neurologique) à partir de 100 micro grammes par litre de sang. Se combinant avec la ferritine du sang en lieu et place du fer, l'aluminium n'est pas éliminé par les reins, et peut donc progressivement imprégner le cortex cérébral et l'hippocampe. C'est à dire les zones du cerveau liées à la mémoire et à la personnalité. Il y provoque la formation de vacuoles (trous) dans le tissu nerveux noble, identiques à celles observées dans les encéphalites spongiformes ou maladie de la vache folle. On retrouve également la présence d'aluminium dans le cerveau des malades atteints par la maladie d'Alzheimer et de la plupart des maladies neurologiques dégénératives...

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    Ces informations scientifiques n'ont jamais été démenties. Elles sont connues des autorités et délibérément occultées.

    En conséquences, l'empoisonnement vaccinal est sans doute responsable :

    • de l'épidémie d'encéphalites spongiformes, tant des animaux (tremblante du mouton, encéphalite de la vache folle) que des hommes (maladie de Kreutfeld Jacob, etc...). L'existence et la responsabilité des prions dans ce drame n'étant sans doute qu'un maquillage habile pour cacher les conséquences de la folies des savants fous !
    • de la flambée de maladies d'Alzheimer que nous observons de nos jours, sachant là encore que les hypothèses génétiques sont hasardeuses et bien peu plausibles.
    • sans doute également de la plupart des cas de scléroses en plaques et de myopathies qui se multiplient si malencontreusement de nos jours.

    Il serait temps de promouvoir une politique de santé cohérente, respectueuse du milieu, de l'environnement et de l'être, avec la liberté pour chacun d'accepter ou de refuser ces actes insensés, après une information scientifique qui ne soit pas une simple publicité !

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    Adjuvant de l'immunité : il s'agit d'une substance chimique obligatoirement ajoutée au vaccin, pour - soi disant - stimuler la réponse du patient. Il faut savoir qu'un vaccin sans adjuvant est toujours inopérant. Mais l'adjuvant, par sa présence, modifie le terrain du vacciné (ce qui est démontré par les mesures bio-électroniques) et permet le recul apparent et momentané des épidémies, avec , à la clé, leur réapparition et leur recrudescence un peu plus tard. On constate parfois même l'apparition de nouvelles maladies beaucoup plus graves : cancers, maladies auto-immune (rhumatismes majeurs, scléroses en plaques, recto-colite, ulcéro-hémorragique...)

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    7 avril 2006

    Lait maternel...c'est pas du bidon!

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    Le lait maternel est biologiquement actif, il nourrit le développement du cerveau du nourrisson et il est parfaitement
    adapté à sa croissance.

    Le lait maternel redevient à la mode (En 5 ans, selon le ministère de la Santé, le pourcentage de femmes "allaitantes " est passé de 44 % à 52%.) et c'est tant mieux. Il est - encore pour l'instant - inimitable et irremplaçable. Tous ses composés possèdent a priori (la science n'a pas mis à jour tous ses secrets) une utilité nutritionnelle ou immunitaire, y compris pour le développement du système nerveux central. Dans les années 1950, l'alimentation artificielle du nourrisson, essentiellement basée sur l'emploi du lait de vache, a pris de plus en plus de place. Cet usage a parfois eu des conséquences néfastes sur la santé du nourrisson, provoquant intolérance au lactose et allergie aux protéines par exemple. D'où, le besoin des fournisseurs de laits infantiles de multiplier les recherches sur la composition du lait humain et des laits animaux, nous permettant ainsi de les comparer…

    Nourriture essentielle pour le cerveau

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    Tous les mammifères sécrètent du lait pour leurs petits. Ce dernier, spécifiquement adapté à leurs besoins particuliers, sera leur nourriture exclusive pendant un certain temps. " Un veau double son poids de naissance en deux mois alors qu'un jeune enfant le double entre 5 à 6 mois, constate le Dr Michel Massol, professeur à l'Université de Toulouse (Aesculape, allaitement maternel et lait de vache, janvier-février 1998.). Le veau a donc besoin de trois fois plus d'éléments pour construire son squelette, de protides et de sels minéraux que l'enfant. Mais, le cerveau de l'enfant croît deux fois plus vite par rapport à son poids que celui du veau, imposant l'apport de certaines substances, galactose et acides gras d'un type particulier, deux fois plus important chez l'enfant. Les deux laits sont exactement adaptés, dans chaque espèce, à la croissance du bébé et du veau."
    De plus, la composition du lait maternel s'adapte aux situations et évolue au cours de l'allaitement : " Le lait d'une maman de prématuré, poursuit le Dr Michel Massol, contient davantage d'acides gras à chaînes moyennes, plus facilement utilisables, que celui d'une mère dont l'enfant est né à terme. " L'évolution de sa composition au cours de l'allaitement est, elle aussi, tout à fait remarquable. Au bout de six mois, il contient de moins en moins de protéines et de plus en plus de lactose. Ceci, afin de permettre le bon développement du système nerveux central et la maturation des défenses immunitaires.

    Enfin, des études ont montré que même en cas de malnutrition de la femme " les mères gardent une capacité de production en quantité suffisante et en qualité dans sa teneur en nutriments majeurs. Mais, avec une perte en vitamines (K,A, B2) et en magnésium ". Un seul petit bémol, il semblerait que dans nos pays riches, le statut nutritionnel déséquilibré de nombreuses jeunes femmes (régimes et alimentation industrielle) entraîne " des situations de subcarences en micronutriments dont les acides gras insaturés ". D'où l'intérêt de " bien" (L'alimentation de la femme enceinte et allaitante, Dr Jean-Pierre Ruasse, éd. Iprédis, 2002.) et non de " trop" s'alimenter pendant la grossesse et l'allaitement, en évitant surtout les restrictions en huiles insaturées (olive, tournesol, etc.). Et de ne pas oublier que les graisses stockées dans le corps de la mère pendant la grossesse seront utilisées ultérieurement pendant l'allaitement pour subvenir aux besoins du bébé.

    Protéines et graisses

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    Le lait de vache contient trois fois plus de protéines que le lait maternel. Ce surdosage, le nourrisson devra l'éliminer d'où un surcroît de travail pour son organisme. Par ailleurs, cet excès de protéines irrite et fragilise la muqueuse intestinale. Il favorise le développement d'une flore microbienne inadaptée. Certains enfants (1 %) vont réagir de façon allergique à l'égard de ces protéines inconnues (troubles digestifs, infections ORL à répétition, asthme, eczéma). Le lait maternel au contraire favorise une flore intestinale à lactobacilles bifidus qui protège le nourrisson contre les bactéries pathogènes.
    Il contient une fois et demi plus de glucides que le lait de vache. Parmi eux, le lactose comme dans le lait de vache, mais aussi des oligosaccharides, lesquels participeraient au développement de cette flore microbienne bien adaptée.

    allaiter

    Pour en savoir plus vous pouvez vous inscrire sur le forum

    Le plaisir d'Allaiter en lien à droite.

    source

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    16 mars 2006

    Gel douche...l'envers de la mousse!

    Newsletter du 15 Mars 2006

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    A lire les emballages des gels douche, on oublierait presque que leur fonction première est de laver. Quelques exemples: un gel douche à l'extrait de gingembre "aphrodisiaque et épicé" (Déshabillez-moi de Bourgeois), un autre aux protéines de yoghourt (Fa), un gel douche à "l'esprit zen" (Klorane)… Des allégations proprement extraordinaires pour des ingrédients présents en quantité infime. Au-delà de ces cas limites, la publicité pour les gels douche, comme pour l'ensemble des cosmétiques, se réfère beaucoup au naturel. La présence de lait, de plantes, d'herbes médicinales, de fruits, de protéines de soie, d'extraits de coton, voire d'orchidée, sont mises en avant et donnent une image de naturel et de douceur au produit.

    775La pétrochimie en direct


    Douceur, apaisant, extradoux sont les mots qui reviennent le plus souvent, écrits en gros, bien visibles sur les conditionnements. Les ingrédients qui constituent l'essence même des gels douche sont en revanche écrits en tout petits caractères, parfois difficilement lisibles. Là, on change carrément de registre, pour plonger dans l'univers de l'industrie pétrochimique. En effet, en dehors de la substance lavante (sodium laureth sulfate et cocamidopropyl betaine) qui peut être élaborée à partir d'huile de noix de coco ou par synthèse chimique, et des ingrédients naturels cités plus haut, les autres composés des gels douche proviennent de la chimie pétrolière.


    Ainsi en est-il des conservateurs. Un gel douche est composé à 80% d'eau, ce qui favorise le développement de bactéries. Pour éviter la contamination de leurs produits, les fabricants leur incorporent des conservateurs, qui sont loin d'être anodins. C'est le cas du formaldéhyde, présent dans certains gels douche, alors qu'il est classé comme cancérogène pour l'homme et entraîne des allergies chez certaines personnes. Il est d'ailleurs interdit dans les cosmétiques au Japon. On trouve encore plus fréquemment des libérateurs de formol dont l'action est proche de celle du formaldéhide.


    Les gels douche peuvent aussi renfermer du phénoxyéthanol, un éther de glycol dont la toxicité sur le système reproducteur et sur le développement des animaux est prouvée depuis longtemps. Depuis plusieurs années, l'UFC-Que Choisir réclame la suppression de cette substance que l'on trouve dans de nombreux produits, y compris ceux destinés aux enfants (lingettes, crèmes solaires…).


    775 Soupçons de cancérogénicité


    Autre famille très représentée dans les gels douche comme la plupart des cosmétiques, les parabens. Déjà connus pour leur pouvoir allergisant, certains de ces conservateurs sont soupçonnés de cancérogénicité depuis la publication d'études ayant montré la présence de parabens dans des tumeurs du sein. Par ailleurs, les effets estrogéniques et/ou toxiques pour la reproduction sont documentés pour 3 membres de la famille: le butylparaben, l'isobutylparaben et le propylparaben. Etant donné l'ubiquité de ces conservateurs, en particuler dans les déodorants qui restent en contact avec la peau dans un endroit chaud et humide, il devient impératif d'effectuer d'autres études sur ces substances. La liste décidément longue des conservateurs comprend aussi un conservateur iodé (iodopropyl butylcarbamate) qui libère de l'iode lors de son utilisation, ce qui augmente le risque de troubles de la thyroïde. En raison de cette fâcheuse propriété, la Norvège et l'Allemagne proposent de retirer cette substance des cosmétiques. La France demande plus modestement son interdiction dans les produits pour enfants, mais le bon sens sanitaire impose son retrait total.

    775 Substances allergisantes


    On trouve aussi dans les cosmétiques des conservateurs bien connus des allergologues pour leur capacité à déclencher des allergies chez certaines personnes. C'est le cas du kathon CG, combinaison de 2 conservateurs, ou du méthyldibromo glutaronitrile. Certains gels douche contiennent même un filtre solaire, du benzophénone-4. Des fois qu'on attraperait un coup de soleil sous sa douche! Plus sérieusement, on s'interroge sur la présence de ce filtre solaire. Est-ce pour préserver la couleur du produit conditionné dans un flacon transparent? Si c'est le cas, ce n'est vraiment pas une bonne idée.


    Autre substance indésirable, le BHT (butylhydroxytoluène) dont la toxicité hépatique, rénale et pulmonaire est démontrée sur les rats. Pour faire bon poids, les gels douche renferment des parfums, potentiellement allergisants.


    Est-ce bien nécessaire d'accumuler tous ces produits? La réponse est non. Mais la majorité des gels douche et au-delà, des cosmétiques, cumulent un nombre important de substances indésirables, malheureusement parfaitement autorisées. Il est illusoire d'attendre les preuves épidémiologiques des effets de tous ces produits sur l'homme. Il faudrait pour cela comparer des personnes les utilisant à d'autres, vierges de tout contact. Ce qui semble difficilement réalisable étant donné leur ubiquité. Les éthers de glycol et le formaldéhyde ne sont en effet pas présents dans les seuls cosmétiques mais dans les produits ménagers, les vernis, les colles…


    Mais nous en savons largement assez sur leur toxicité pour que les pouvoirs publics fassent le ménage dans la composition des cosmétiques et exigent des produits sans danger pour les consommateurs.




    Source: Que Choisir (mai 2005)

    23 janvier 2006

    Du poison dans les couches jetables?

    NEWSLETTERS du 23/01

    sorci089

    .:: Les couches jetables et le TBT ::.

    flacon
    Il y a quelques temps déjà, Greenpeace avait tiré la sonnette d’alarme au sujet de la présence de TBT dans les couches jetables.

    A l’heure actuelle, nous ne savons pas si le TBT a été réellement supprimé de toutes les couches jetables présentes sur le marché mondial. Même si c’était le cas, d’autres produits chimiques sont employés pour la fabrication des couches ! La preuve est telle que si les fabricants de couches jetables voulaient jouer la carte de la transparence, ils mettraient la composition de leur couche sur le paquet!

    Qu'est que le TBT et où est-il utilisé ?

    flacon

    Le TBT (Tributylzinn) est un composé d'organo-étains qui agit déjà mortellement à partir de 0,001 microgramme par litres sur des organismes (mollusques, algues,…) se trouvant dans l’eau. Elle est utilisée principalement dans la navigation. La peinture pour bateaux en contient pour empêcher la croissance d’algues, coquillages,… sur les coques de ceux-ci. Le TBT est aussi utilisé aussi comme désinfectant et comme pesticide. Il est également employé dans des matières plastiques comme le PVC, pour rendre les matières plastiques plus durables.

    Est ce que le TBT est toxique et quel danger représente t’il pour l’homme ?

    flacon

    TBT est un poison, une substance très toxique ! Il s'introduit dans les organismes et interfère avec leurs hormones et leur système immunitaire. En quantité microscopique, il provoque la mort d’organismes vivant dans l’eau.

    Le TBT agit pratiquement comme une hormone. Même une petite concentration de TBT peut nuire au système immunitaire de l’homme et endommager son système hormonal. Cette faiblesse du système immunitaire pourrait conduire à la naissance d’une tumeur.

    A partir de quelle quantité présente t’il un danger ?

    flacon

    Les valeurs limites dont on dispose, ne sont pas transférables sur des couches et des nourrissons. Il est certain que le TBT est absorbé par la peau. Ce qu’il produit comme dommage n’est pas encore clair!

    L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a placé la dose maximale tolérable pour un adulte à 15 microgrammes pour 60 kg (poids moyen d’un adulte). Cette valeur indicative a été basée sur des recherches effectuées sur des ouvriers de chantier naval exposés quotidiennement aux peintures pour bateaux contenants du TBT. Mais quand est-il pour les couches jetables et surtout pour nos bébés ? Ce qui est certain c’est que le TBT est une des substances les plus toxiques que l’homme n’a jamais fabriqué. Il est absorbé par la peau et empoissonne aussi bien l’homme, que l’environnement !

    Pourquoi et comment du TBT a t’il pu se retrouver dans des couches ?

    flacon

    C’est totalement aberrant qu’un produit aussi toxique se retrouve dans les couches jetables ! Pourquoi utilise t’on ce genre de produits pour la fabrication de couches jetables ? Pour avoir la réponse, il faut s’adresser aux fabricants de couches.

    Les études menées par Greenpeace et WEN ont prouvés que le TBT se trouvait principalement dans les élastiques au niveau des cuisses.

    Le TBT est utilisé comme catalyseur pour la fabrication de certains plastiques et comme stabilisateur dans le PVC.

    Quel est le danger pour nos bébés ?

    flacon
    Voici quelques affirmations qui portent à la réflexion :

    • Les couches sont en contact permanent avec la peau de nos bébés et ce pendant plus de deux ans ½.
    • Le TBT est absorbé par la peau, bien que nous ne savons pas dans quel mesure et comment cela se passe.
    • La peau des bébés est plus fine qu’un adulte. Nous ne pouvons donc pas nier le fait que le TBT ne soit pas absorbé. Il vaut mieux être prudent que désolé !
    • D’après l’étude effectuée par WEN : un bébé portant des couches jetables et changé 5 fois par jour pourrait être en contact avec jusqu'à 3,6 fois la prise quotidienne tolérable estimée par l’OMS. (Ils ne peuvent pas dire si le TBT peut être absorbé ou non à cause de la couche et en quelle quantité.)

    En guise de conclusion, nous estimons que le TBT ne devrait se trouver dans aucun produit d’entretien et encore moins contre la peau de nos bébés !

    Sources : WEN (The Women's Environmental Network) et Greenpeace

    2 janvier 2006

    Comparaison en sept points entre les antibiotiques et les huiles essentielles

    Newsletter du 02 janvier 2006

    beh_aroma

    source image

    1. Historiquement [...] l'apparition des antibiotiques dans l'évolution globale de l'humanité ne représente pas la durée d'un "clin d'oeil". Les plantes aromatiques, elles, ont toujours fait partie de l'environnement naturel de l'être humain, et leurs usages [...] est une constance retrouvée dans toutes les ethnies, à toutes les époques, et sur tous les continents.

    2. Chimiquement, les antibiotiques sont constitués d'une molécule unique [...] Les essences sont, elles (pour la plupart) constituées de multiples molécules leur conférant des propriétés variées.

    3. A l'origine, les antibiotiques sont également issus d'êtres vivants, mais principalement de moisissures hétérotrophes, tirant leur énergie de la dégradation de substances organiques. Les essences, elles, sont issues du métabolisme de plantes supérieures, chlorophyliennes, donc autotrophes [...]

    4. Dans la mesure où l'antibiotique est constitué d'une seule molécule, il est aisé pour une bactérie de synthétiser une enzyme, ou une autre molécule, le rendant inactif [...] Cela ne se produit jamais avec les traitements aromatiques [...]

    5. La molécule synthétique permet seulement une action bactériostatique ou bactéricide. L'huile essentielle va au-delà [...] et agit parallèlement sur l'organisme tout entier.

    6. [...] Outre l'apparition de phénomènes d'antibiorésistance, et la création de souches bactériennes mutantes redoutables [...], certaines molécules antibiotiques présentent une toxicité sévère [...] Les huiles essentielles, utilisées selon des normes précises, donnent lieu à des "effets secondaires bénéfiques" à l'ensemble de l'organisme, et la flore symbiotique [...] est respectée. Enfin, le système immunitaire voit son activité modulée dans le sens le plus favorable à la défense et à l'épanouissement de l'organisme.

    7. En pharmacie et en médecine, à juste titre, une distinction est établie entre les produits à usage externes et ceux destinés à être introduits dans l'organisme [...] En aromathérapie, la voie interne et la voie cutanée sont, en permanence, conjointement utilisées [...] La quasi-inexistence d'inconvénients dans des conditions normales d'utilisation montre que les molécules aromatiques (d'origine naturelle) sont, dans l'immense majorité des cas, parfaitement bien acceptées par l'organisme.


    Tiré de L'Aromathérapie exactement, Editions Roger Jollois

    16 décembre 2005

    Nos Enfants sont-ils des veaux?

    Newsletter du 15/12

    veau

    vacheLe Lait un poison légitimé?

    Outre les inconvénients reconnus de tous, lait et produits laitiers, semblent être mis à l'index par les plus récentes découvertes scientifiques démontrant que l'adoption d'une alimentation à base de lait de vache est certainement cause d'un véritable traumatisme organique chez le bébé, suivi d'une période de troubles pathologiques plus ou moins importants, et pour finir, d'une apparente adaptation qui cache, en fait, nombreux déséquilibres fonctionnels qui perdureront la vie durant.

    Chez l'adolescent et l'adulte, naturellement le dommage n'est pas si dramatique, mais existe néanmoins encore sous forme de déminéralisation, d'inflammations ou d'encrassements tissulaires pouvant conduire à de simples indurations...

    vacheINDIGESTE

    Le lait de vache à l'état brut présente parmi nombre d'inconvénients connus et reconnus depuis longtemps, son indéniable manque de digestibilité. En effet l'estomac humain adulte ne contient pas la présure qui, dans l'estomac du veau, permet de cailler le lait, il faut donc fabriquer de la lactase en grande quantité pour qu'il puisse être digéré. Tant que ce n'est pas le cas, le processus de la digestion reste bloqué et les fermentations et autres débuts de putréfaction se déclenchent. C'est pourquoi on préfère bien souvent transformer le lait en yaourt ou en fromage: formes prédigérés.
    Mais l'énorme quantité de lipides animaux contenus dans la plupart des fromages les rendent encore assez indigestes à tous ceux dont le système hépato-biliaire n'est pas au mieux de sa forme! Cet inconvénient même s'il est partagé avec les viandes grasses et charcuteries, n'en est pas moins réel; le mélange pain et fromage gras est donc délicat.
    De plus, lorsque le lait ou le produit laitier ne proviennent pas de l'agriculture biologique, ils s'avèrent des plus toxiques, car tous les pesticides (*), insecticides, et antibiotiques se concentrent dans les cellules lipidiques fabriquées par la vache. De sorte que le lait entier et les fromages gras non bio contiennent des proportions infiniment plus importantes de polluants que n'importe quel végétal traité chimiquement..
    Enfin, le lait et les produits laitiers comptent parmi les aliments les plus allergènes (**) et les troubles digestifs suscités par ces intolérances sont aussi nombreux qu'insidieux.

    (*) Cah. Nutr. Diet 1, analyse OMS dans 6 pays répartis dans le monde
    (**) Le Berre, H. "Les Quatres Saisons" 1990,-65-17,21)

    vacheLAIT DEMINERALISANT ET ...

    Les protéines d'un lait quel qu'il soit transmettent une information, spécifique à l'espèce, qui permettra l'élaboration de l'osséine, autrement dit la capacité des os à retenir les minéraux. Or, là encore, il est bien évident que l'information délivrée par les protéines du lait de vache est totalement inadaptée à l'homme. Par conséquent l'organisme d'un bébé privé de lait humain et consommant du lait de vache ne disposera pas de l'information correcte pour fabriquer son osseine ... et ne pourra donc pas se minéraliser convenablement. Enfant, puis adulte, il éliminera de manière excessive, par manque d'osséine, les sels minéraux contenus dans le sang, et les déposera dans les tissus, devenant ainsi sujet aux calculs, kystes et autres indurations.
    De plus le pouvoir minéralisant du lait est completement surfait, en raison essentiellement de la qualité des laits commercialisés –hors circuit AB; qu'ils soient pasteurisés, stérilisés, UHT, ils sont dévitalisés et leurs minéraux sont devenus pratiquement inutisables pour les métabolisme.

    vache... PERTURBATEUR
    DE LA FONCTION HORMONALE

    La présence d'hormones spécifiquement bovines, porteuses d'informations (prise de poids rapide) inadaptées à la lente croissance humaine, est perturbatrice, de fait, des fonctions hormonales du bébé, contrôlées par son hypophyse. Et, comme il s'agit d'information, la quantité de lait absorbée ne joue qu'un rôle secondaire; même de très petites quantités délivrent le message.


    vacheLAIT DECALCIFIANT !

    Le lait, tant recommandé aux enfants pour son sacro-saint apport en calcium, n'est pas un aliment spécifique de l'être humain.
    En effet, en ce qui concerne le calcium, il semblerait que celui contenu dans le lait de vache ne puisse être correctement assimilé par l'être humain. La trop grande richesse en calcium du lait de vache le rend dangereux, car outre les indurations qu'elle entraîne, par manque d'osséine, elle inhibe presque totalement l'action du magnésium, affaiblissant ainsi les cellules nerveuses et musculaires.
    Enfin, le lait de vache est également trop riche en phosphore, et pour cette raison, peut être responsable d'une relative hyper-parathyroïdie.

    vacheSURTOUT PAS POUR LES BEBES

    Bien d'autres reproches sont encore faits au lait de vache, parmi lesquels, bien sûr, sa surabondance d'acides gras saturés, d'acide lactique et d'oestrogènes, ainsi que sa pauvreté en lactose :
    - surabondance d'acides gras
    Comparé au lait maternel qui contient essentiellement des acides gras poly- insaturés, le lait de vache fatigue fortement le foie du nourrisson –et de l'adulte- à cause de ses grosses molécules lipidiques et n'apporte pas non plus au cerveau la qualité de graisses permettant son développement, beaucoup plus rapide et important que chez les bovidés.

    L'excès d'acide lactique, pour sa part, peut devenir rapidement toxique, et entrainer la prolifération des cellules tumorales.
    -et d'oestrogenes
    Quant aux substances oestrogéniques, on sait qu'elles favorisent la baisse de la fertilité masculine et les cancers des organes génitaux; mais il est vrai que le lait n'est pas le seul aliment à en contenir des taux excessifs.

    -pauvreté en lactose
    Enfin, la pauvreté en lactose du lait de vache, comparé au lait humain, est très probablement responsable d'un déséquilibre de la flore intestinale et d'une chute importante de la protection contre les germes pathogènes, chez le bébé.
    En fait les protéines du lactosérum humain contiennent de nombreux anticorps absolument indispensables au nourrisson, puisque celui-ci n'a encore développé aucune immunité au niveau intestinal. Privé de lait maternel, l'enfant est donc déjà en grand danger; mais nourri au lait de vache il est de plus, exposé à la prolifération de toutes sortes de parasites.

    Néanmoins, le lait garde sa place dans l'armoire à pharmacie car il reste aussi un extraordinaire contrepoison, dont diverses études ont notamment montré qu'il pouvait efficacement lutter contre le saturnisme, cette intoxication au plomb si fréquente dans les villes polluées.

    source

    Pour en savoir plus

    12 décembre 2005

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